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Point sur l’enquête

Coffre du XIXe siècle

Lundi 4 décembre 2017 — Une découverte exceptionnelle est faite sur le site de l’École Sacré-Cœur dans le quartier Saint-Sauveur. C’est en effectuant à l’automne des travaux dans la cour de l’école qu’un travailleur qui creusait le sol cogna sur une large boîte de métal. On cessa aussitôt les travaux afin que la découverte soit déterrée avec minutie par des archéologues. À l’intérieur de cette boîte était préservé un précieux coffret. Celui-ci fut alors confié au comité de conservation du Musée de la civilisation de Québec afin que l’objet soit étudié en détail. Le fruit de cette étude fut présenté en primeur à un groupe d’élèves de l’École Sacré-Cœur. Le directeur de l’école, Christian Faucher, ainsi qu’une conservatrice du Musée de la civilisation, Lydia Bouchard, complices de cette découverte, ont présenté le coffret en compagnie de Karine Gagné, responsable du service de garde, Marie Lamonde-Simard et Audrey Santerre-Crête, responsable de la Joujouthèque et Cynthia Corriveau, éducatrice. Des membres de l’équipe des Productions Rhizome et un caméraman étaient également sur place afin de documenter cette révélation extraordinaire. Les données interprétées avec l’aide des élèves ont été retenues et aideront à la compréhension de cet objet mystérieux. Jusqu’à maintenant, il est impossible d’ouvrir le coffre afin d’en révéler le contenu. Pour le moment, les experts espèrent encore retrouver la clef y étant reliée. Les élèves seront tenus informés de l’avancement des recherches.

Le coffret du XIXe siècle fait partie de la collection du Musée de la civilisation de Québec.

(L'Hypérion, Volume I, Édition I, décembre 2017)
Cryptogramme sonore

Cryptogramme sonore étant contenu à l’intérieur du coffre découvert dans la cour de la Joujouthèque

(L'Hypérion, Volume I, Édition II, février 2018)
Manuscrit d’une Cité idéale — Hypérion, mars 1860

Ce sont l’exploratrice française Charlotte Sémafore et le botaniste québécois Alcide Lachance qui ont rédigé ce manuscrit retrouvé tout récemment au château des ducs de Bretagne en France. Sans angle droit, ni planification, la « cité idéale » qui y est décrite constituerait une ville de surprises! Une ville d’arbres enracinés et d’oiseaux voyageurs, aux maisons utopiques, flottantes, mouvantes et volantes. Des maisons avec des ailes peut-être? Elles se déplaceraient au gré des courants, se pliant l’hiver pour se déplier l’été. Il y aurait des vergers se propageant de manière plus ou moins anarchique et sauvage. Selon Maxime Labat, enquêteur scientifique chez Arkham sur Loire, « on est bien loin des villes américaines; on imagine plutôt des méandres, des dédales. » Les jeunes de l’école Aimée-Césaire, du Pignon Bleu et de la Joujouthèque poursuivent l’enquête d’un estuaire à l’autre, réfléchissant à leur tour à ce projet de Cité idéale.

 

(L'Hypérion, Volume I, Édition III, mars 2018)